Pour quels voyageurs ?
Pour les voyageurs qui veulent tout savoir de l’art Maya, visiter les petits et les grands sites. Pour celles et ceux qui veulent s’initier aux différences de styles, aux subtilités de l’immense culture. Pour ceux et celles qui sauront être émus par les styles puuc, rio bec, chenes ou maya- toltèque. Pour celles et ceux qui sauront entendre et écouter les murmures, les échos surgis du passé. Mais pour les voyageurs aussi qui veulent se lancer dans un parcours colonial et goûter à l’atmosphère paisible des petites bourgs du
Yucatan aussi bien qu’à la vitalité des villes animées et au silence des anciennes haciendas. Et puis pour les voyageurs enfin qui veulent donner à leur séjour, à leur villégiature une note épicée, une note caraïbe. Pour celles et ceux qui veulent une mer turquoise et des kilomètres de plages de sables fins au cœur du monde maya... Pour celles et ceux, donc, qui veulent emmener leurs enfants. Pour celles et ceux qui veulent à la fois, la culture, la nature, le repos, la fête, des récifs de coraux et des vestiges mystérieux. Tout le Mexique, en somme...
Ce que l’on trouve lors d’un voyage dans le Yucatan, et pas ailleurs...
Des eaux d’une extraordinaire pureté sur la côte caraïbe, des fonds marins extrêmement riche, des cités balnéaires trépidantes comme
Cancun, mais aussi des villages paisible comme la si jolie
Playa del Carmen, à
Tulum –la seule cité maya qui borde la mer des Caraïbes... Des Iles au large, telles que Cozumel, qui attire les plongeurs du monde entier. L’Isla Mujeres, préservée, et restée aux pêcheurs qui la peuple depuis toujours.
Holbox, paradis sauvage protégé, avaec sa réserve écologique de Yum Balam. Et puis, à l’intérieur des terres, au cœur du Yucatan, des vestiges mayas. Des sites prodigieux, de toute beauté.
Uxmal, Kabah et son palais des masques, Labna, Edzna et son édifice aux cinq plateformes. Plus loin dans la jungle, nimbé d’un parfum d’aventure, Calakmul... Enfin, des façades aux couleurs pastels dans les villes coloniales telles que Campeche, Merida, Valladolid, Izamal et son monastère franciscain tout de jaune.
Vivre un moment unique
Il faut marcher longtemps, partir à l’aube, lorsque la forêt tropicale se réveille dans mille bruissements, dans un long murmure, comme un animal s’ébroue peu à peu. Il faut glisser sous les branches, distinguer le ciel morcelé et le voir disparaitre complètement par moments sous la canopée. Avancer sur des sentiers à peine dessinés, entre branches et lianes. Se sentir l’âme aventureuse. Marcher encore. Mesurer le temps, la distance parcourue pour changer de monde, de culture, et d’époque. D’Histoire aussi. Et puis soudain, le monde Maya est vivant. Calakmul.